interview
Saki Kumagaï : "Je suis très chanceuse de jouer à Lyon!"
Il y a des joueuses que l'on aimerait pouvoir interviewer mais sans pouvoir le faire car la langue reste une barrière infranchissable. Cela est d'autant plus frustrant lorsque vous savez que la joueuse en face de vous aimerait pouvoir vous donner une interview mais se trouve elle-même empêcher par le language et se sent gènée de ne pas connaitre la votre d'autant qu'elle joue dans votre pays. Et, bien entendu, votre déception est d'autant plus grande lorsque vous appréciez beaucoup la joueuse.
Parmi les joueuses qui entre dans cette catégorie, il y a l'internationale japonaise Saki Kumagaï. Née à Sapporo (ville de l'ïle d'Hokkaïdô - Japon) il y a de cela 24 automnes. Avant de jouer à l'Olympique lyonnais depuis la saison 2013 - 2014, elle a évoluée au FF Francfort durant deux saisons. Elle est, avec son équipe nationale, championne du Monde 2011 et finaliste des J.O. de Londres 2012. Rien que le peu que nous indiquons de Saki Kumagaï permet de comprendre à quel point nous brûlions d'envie de pouvoir recueillir ses propos (d'autant que le Japon est l'une de nos 3 nations préférées du football féminin - hormis la France!).
Alors, losque l'une de nos consoeur japonaise se déplace exclusivement pour Saki san, nous ne pouvons rater l'occasion de solliciter l'aide de la consoeur en question pour nous aider à en savoir plus de la championne japonaise en comblant les lacunes qui sont devenues les notres par manque prolongé de la langue nippone et ce, d'autant plus que Kumagaï avait dû décliner notre demande d'interview pour le souci de langue auquel nous faisons référence, lors du match aller, à Gerland, le 1er novembre 2014.
Pour une fois, nous n'avons pas fait une retranscripton complète de la présente interview vidéo car, au-delà des fortes contraintes que cela présentait pour nous, il nous a paru plus judicieux de résumer - en paraphrasant -, en quelques phrases, les propos de Kumagaï, afin de rester fixer sur "l'essentiel". Seules, donc, les personnes parlant le japonais auront la possibilité de connaitre le conenu complet des propos de la lyonnaise. Une façon, aussi, de remercier notre public du soleil levant qui s'accroit de quelques centaines à chacune de nos publications, depuis quelques semaines et qui fait, à présent, du Japon, le troisième pays où nous sommes le plus suivi (passant ainsi devant l'Angleterre mais après les U.S.A., en 1ère place et la France en seconde).
Christian Estevez
pour www.total-futbol.com
Farid Benstiti (PSG ) : "On ne méritait pas la victoire!"
Dimanche 15 février, le choc des 8e de finale de la Coupe de France entre l’En Avant de Guingamp et le Paris Saint-Germain à tenu toutes ses promesses ! Un but dès la 1ère minute de match pour les guingampaises, une course à l’égalisation des parisiennes (qui aboutit à la 29ème minute), puis la course à la prise d’avantage du score qui se fait « course de fond » et un match qui finit par une une "épreuve
d’endurance" pour les nerfs avec une séance de tirs aux but qui ne trouve sa conclusion qu’à 7 – 6 en faveur des rouges et noires
bretonnes ! Un Vrai match de Coupe qui aurait très largement mérité une diffusion télévisée ! Et ce, d’autant plus quand certains matchs –
toujours entre les deux mêmes équipes – sont retransmis par deux chaines de télévision en même temps !
A l’issue de ce match, comme de bien entendu pour tous les matchs de coupes, il ne pouvait y avoir qu’un vainqueur – et donc,
qu’un perdant. Et, à la surprise quasi générale, c’est le Paris Saint-Germain qui a endossé le « costume de deuil » qu’est celui de l’élimination.
Bien que la Coupe de France n’ai jamais été l’objectif premier du PSG, il était fort logique que les joueuses et l’encadrement technique en
soient sortis très marqués !
Farid Benstiti – l’entraîneur du PSG – dont il n’est pas besoin de rappeler à quel point il est un grand entraîneur et un grand
compétiteur – ne pouvait donc, lui aussi, qu’être marqué par la défaite de son équipe. Mais, parce que, justement, Farid est grand en
quantité de choses, il a tout de même bien voulu nous accorder une interview, que, par respect, il nous était évident de ne pas faire longue.
Nous remercions donc « grandement » Farid Benstiti pour l’interview qu’il a très aimablement bien voulu nous accorder et vous
offrons cette entrevue – remplie de longs silences de la part de l’entraîneur parisien.
Christian Estevez
Sarah M'Barek :" On est là parce qu'on le mérite!"
Ce dimanche 15 février 2015, à Saint Brieuc, un "orage tranquille" s’est abattu sur la Coupe de France, puisse que l’En Avant de Guingamp a éliminé le Paris Saint-Germain – « largissime » favori de cette rencontre – sur le score de 7 – 6 à l’issue des tirs aux buts (1 – 1 à la fin du temps réglementaire).
Aux commandes de ces « joueuses-éclairs –de-génie », il y a Sarah M’Barek ! « L’entraîneure » rouge et noire de cette équipe bretonne qui étonne et détonne cette année, pour le plus grand plaisir des amoureuses/amoureux du football féminin en général, et du Championnat de France, en particulier.
Une nouvelle fois, Sarah M’Barek a accepté, malgré l’heure tardive, de nous offrir l’honneur d’une interview et c’est fort heureux de ce privilège – qui est toujours un véritable plaisir – que nous vous offrons, à notre tour, le contenu de notre entrevue.
P.S. : Contrairement à d'habitude, pour la retranscription de cette interview – et de d’autres qui suivront, parmi celles que nous réalisons -, c’est une autre personne qui en a pris soin. Bien sûr, notre « billet d’introduction » reste toujours bien exclusivement notre plume.
Christian Estevez
Aminata Diallo : "Battre le PSG? Bien sûr c'est possible!"
Dimanche 25 janvier, à Saint-Malo, l’E.A. Guingamp a obtenu son billet pour les 1/8ème de finale de la Coupe de France en s’imposant 0 – 4.
Parmi les buteuses rouges et noires, il y eu Aminata Diallo - médaillée de bronze à la coupe du monde au Canada, l’an passé, avec l’équipe de France - qui, en plus d’avoir marqué le 3ème but, a largement contribué à faire plier la défense malouine de par son jeu particulièrement offensif.
Le très bon match d’Aminata fut d’autant plus l’occasion, pour nous, de l’interviewer assez longuement après le match, que nous l’avions prévu, dans cette même période de la saison, depuis plusieurs semaines déjà !
Ami Otaki : "J''apprécie vraiment de jouer en France!"
Ce dimanche 25 janvier, se disputait le match de 1/16ème de finale de Coupe de France qui opposait l’U.S. Saint Malo à l’En Avant de Guingamp.
Et, comme nous l’avait indiqué Sarah M’Barek – l’ « entraîneure » de l’E.A. Guingamp -, lors de l’interview d’après match du dimanche précédent, ce derby breton vit l’arrivée de la japonaise Ami Otaki sous ses nouvelles couleurs guingampaises !
Malgré le fait qu’elle fut remplacée durant la seconde mi-temps, quoi de plus évident, que d’interviewer l’excellente joueuse nippone qu’est Ami Otaki ?
Voici donc, en anglais pour l’interview en vidéo, mais bien en français pour la retranscription écrite, la première « interview rouge et noire », d’après-match, d’Ami Otaki !
Saki Kumagaï : "Je suis très chanceuse de jouer à Lyon!"
Il y a des joueuses que l'on aimerait pouvoir interviewer mais sans pouvoir le faire car la langue reste une barrière infranchissable. Cela est d'autant plus frustrant lorsque vous savez que la joueuse en face de vous aimerait pouvoir vous donner une interview mais se trouve elle-même empêcher par le language et se sent gènée de ne pas connaitre la votre d'autant qu'elle joue dans votre pays. Et, bien entendu, votre déception est d'autant plus grande lorsque vous appréciez beaucoup la joueuse.
Parmi les joueuses qui entre dans cette catégorie, il y a l'internationale japonaise Saki Kumagaï. Née à Sapporo (ville de l'ïle d'Hokkaïdô - Japon) il y a de cela 24 automnes. Avant de jouer à l'Olympique lyonnais depuis la saison 2013 - 2014, elle a évoluée au FF Francfort durant deux saisons. Elle est, avec son équipe nationale, championne du Monde 2011 et finaliste des J.O. de Londres 2012. Rien que le peu que nous indiquons de Saki Kumagaï permet de comprendre à quel point nous brûlions d'envie de pouvoir recueillir ses propos (d'autant que le Japon est l'une de nos 3 nations préférées du football féminin - hormis la France!).
Alors, losque l'une de nos consoeur japonaise se déplace exclusivement pour Saki san, nous ne pouvons rater l'occasion de solliciter l'aide de la consoeur en question pour nous aider à en savoir plus de la championne japonaise en comblant les lacunes qui sont devenues les notres par manque prolongé de la langue nippone et ce, d'autant plus que Kumagaï avait dû décliner notre demande d'interview pour le souci de langue auquel nous faisons référence, lors du match aller, à Gerland, le 1er novembre 2014.
Pour une fois, nous n'avons pas fait une retranscripton complète de la présente interview vidéo car, au-delà des fortes contraintes que cela présentait pour nous, il nous a paru plus judicieux de résumer - en paraphrasant -, en quelques phrases, les propos de Kumagaï, afin de rester fixer sur "l'essentiel". Seules, donc, les personnes parlant le japonais auront la possibilité de connaitre le conenu complet des propos de la lyonnaise. Une façon, aussi, de remercier notre public du soleil levant qui s'accroit de quelques centaines à chacune de nos publications, depuis quelques semaines et qui fait, à présent, du Japon, le troisième pays où nous sommes le plus suivi (passant ainsi devant l'Angleterre mais après les U.S.A., en 1ère place et la France en seconde).
Christian Estevez
pour www.total-futbol.com
Farid Benstiti (PSG ) : "On ne méritait pas la victoire!"
Dimanche 15 février, le choc des 8e de finale de la Coupe de France entre l’En Avant de Guingamp et le Paris Saint-Germain à tenu toutes ses promesses ! Un but dès la 1ère minute de match pour les guingampaises, une course à l’égalisation des parisiennes (qui aboutit à la 29ème minute), puis la course à la prise d’avantage du score qui se fait « course de fond » et un match qui finit par une une "épreuve
d’endurance" pour les nerfs avec une séance de tirs aux but qui ne trouve sa conclusion qu’à 7 – 6 en faveur des rouges et noires
bretonnes ! Un Vrai match de Coupe qui aurait très largement mérité une diffusion télévisée ! Et ce, d’autant plus quand certains matchs –
toujours entre les deux mêmes équipes – sont retransmis par deux chaines de télévision en même temps !
A l’issue de ce match, comme de bien entendu pour tous les matchs de coupes, il ne pouvait y avoir qu’un vainqueur – et donc,
qu’un perdant. Et, à la surprise quasi générale, c’est le Paris Saint-Germain qui a endossé le « costume de deuil » qu’est celui de l’élimination.
Bien que la Coupe de France n’ai jamais été l’objectif premier du PSG, il était fort logique que les joueuses et l’encadrement technique en
soient sortis très marqués !
Farid Benstiti – l’entraîneur du PSG – dont il n’est pas besoin de rappeler à quel point il est un grand entraîneur et un grand
compétiteur – ne pouvait donc, lui aussi, qu’être marqué par la défaite de son équipe. Mais, parce que, justement, Farid est grand en
quantité de choses, il a tout de même bien voulu nous accorder une interview, que, par respect, il nous était évident de ne pas faire longue.
Nous remercions donc « grandement » Farid Benstiti pour l’interview qu’il a très aimablement bien voulu nous accorder et vous
offrons cette entrevue – remplie de longs silences de la part de l’entraîneur parisien.
Christian Estevez
Sarah M'Barek :" On est là parce qu'on le mérite!"
Ce dimanche 15 février 2015, à Saint Brieuc, un "orage tranquille" s’est abattu sur la Coupe de France, puisse que l’En Avant de Guingamp a éliminé le Paris Saint-Germain – « largissime » favori de cette rencontre – sur le score de 7 – 6 à l’issue des tirs aux buts (1 – 1 à la fin du temps réglementaire).
Aux commandes de ces « joueuses-éclairs –de-génie », il y a Sarah M’Barek ! « L’entraîneure » rouge et noire de cette équipe bretonne qui étonne et détonne cette année, pour le plus grand plaisir des amoureuses/amoureux du football féminin en général, et du Championnat de France, en particulier.
Une nouvelle fois, Sarah M’Barek a accepté, malgré l’heure tardive, de nous offrir l’honneur d’une interview et c’est fort heureux de ce privilège – qui est toujours un véritable plaisir – que nous vous offrons, à notre tour, le contenu de notre entrevue.
P.S. : Contrairement à d'habitude, pour la retranscription de cette interview – et de d’autres qui suivront, parmi celles que nous réalisons -, c’est une autre personne qui en a pris soin. Bien sûr, notre « billet d’introduction » reste toujours bien exclusivement notre plume.
Christian Estevez
Aminata Diallo : "Battre le PSG? Bien sûr c'est possible!"
Dimanche 25 janvier, à Saint-Malo, l’E.A. Guingamp a obtenu son billet pour les 1/8ème de finale de la Coupe de France en s’imposant 0 – 4.
Parmi les buteuses rouges et noires, il y eu Aminata Diallo - médaillée de bronze à la coupe du monde au Canada, l’an passé, avec l’équipe de France - qui, en plus d’avoir marqué le 3ème but, a largement contribué à faire plier la défense malouine de par son jeu particulièrement offensif.
Le très bon match d’Aminata fut d’autant plus l’occasion, pour nous, de l’interviewer assez longuement après le match, que nous l’avions prévu, dans cette même période de la saison, depuis plusieurs semaines déjà !
Ami Otaki : "J''apprécie vraiment de jouer en France!"
Ce dimanche 25 janvier, se disputait le match de 1/16ème de finale de Coupe de France qui opposait l’U.S. Saint Malo à l’En Avant de Guingamp.
Et, comme nous l’avait indiqué Sarah M’Barek – l’ « entraîneure » de l’E.A. Guingamp -, lors de l’interview d’après match du dimanche précédent, ce derby breton vit l’arrivée de la japonaise Ami Otaki sous ses nouvelles couleurs guingampaises !
Malgré le fait qu’elle fut remplacée durant la seconde mi-temps, quoi de plus évident, que d’interviewer l’excellente joueuse nippone qu’est Ami Otaki ?
Voici donc, en anglais pour l’interview en vidéo, mais bien en français pour la retranscription écrite, la première « interview rouge et noire », d’après-match, d’Ami Otaki !
Saki Kumagaï : "Je suis très chanceuse de jouer à Lyon!"
Il y a des joueuses que l'on aimerait pouvoir interviewer mais sans pouvoir le faire car la langue reste une barrière infranchissable. Cela est d'autant plus frustrant lorsque vous savez que la joueuse en face de vous aimerait pouvoir vous donner une interview mais se trouve elle-même empêcher par le language et se sent gènée de ne pas connaitre la votre d'autant qu'elle joue dans votre pays. Et, bien entendu, votre déception est d'autant plus grande lorsque vous appréciez beaucoup la joueuse.
Parmi les joueuses qui entre dans cette catégorie, il y a l'internationale japonaise Saki Kumagaï. Née à Sapporo (ville de l'ïle d'Hokkaïdô - Japon) il y a de cela 24 automnes. Avant de jouer à l'Olympique lyonnais depuis la saison 2013 - 2014, elle a évoluée au FF Francfort durant deux saisons. Elle est, avec son équipe nationale, championne du Monde 2011 et finaliste des J.O. de Londres 2012. Rien que le peu que nous indiquons de Saki Kumagaï permet de comprendre à quel point nous brûlions d'envie de pouvoir recueillir ses propos (d'autant que le Japon est l'une de nos 3 nations préférées du football féminin - hormis la France!).
Alors, losque l'une de nos consoeur japonaise se déplace exclusivement pour Saki san, nous ne pouvons rater l'occasion de solliciter l'aide de la consoeur en question pour nous aider à en savoir plus de la championne japonaise en comblant les lacunes qui sont devenues les notres par manque prolongé de la langue nippone et ce, d'autant plus que Kumagaï avait dû décliner notre demande d'interview pour le souci de langue auquel nous faisons référence, lors du match aller, à Gerland, le 1er novembre 2014.
Pour une fois, nous n'avons pas fait une retranscripton complète de la présente interview vidéo car, au-delà des fortes contraintes que cela présentait pour nous, il nous a paru plus judicieux de résumer - en paraphrasant -, en quelques phrases, les propos de Kumagaï, afin de rester fixer sur "l'essentiel". Seules, donc, les personnes parlant le japonais auront la possibilité de connaitre le conenu complet des propos de la lyonnaise. Une façon, aussi, de remercier notre public du soleil levant qui s'accroit de quelques centaines à chacune de nos publications, depuis quelques semaines et qui fait, à présent, du Japon, le troisième pays où nous sommes le plus suivi (passant ainsi devant l'Angleterre mais après les U.S.A., en 1ère place et la France en seconde).
Christian Estevez
pour www.total-futbol.com
Farid Benstiti (PSG ) : "On ne méritait pas la victoire!"
Dimanche 15 février, le choc des 8e de finale de la Coupe de France entre l’En Avant de Guingamp et le Paris Saint-Germain à tenu toutes ses promesses ! Un but dès la 1ère minute de match pour les guingampaises, une course à l’égalisation des parisiennes (qui aboutit à la 29ème minute), puis la course à la prise d’avantage du score qui se fait « course de fond » et un match qui finit par une une "épreuve
d’endurance" pour les nerfs avec une séance de tirs aux but qui ne trouve sa conclusion qu’à 7 – 6 en faveur des rouges et noires
bretonnes ! Un Vrai match de Coupe qui aurait très largement mérité une diffusion télévisée ! Et ce, d’autant plus quand certains matchs –
toujours entre les deux mêmes équipes – sont retransmis par deux chaines de télévision en même temps !
A l’issue de ce match, comme de bien entendu pour tous les matchs de coupes, il ne pouvait y avoir qu’un vainqueur – et donc,
qu’un perdant. Et, à la surprise quasi générale, c’est le Paris Saint-Germain qui a endossé le « costume de deuil » qu’est celui de l’élimination.
Bien que la Coupe de France n’ai jamais été l’objectif premier du PSG, il était fort logique que les joueuses et l’encadrement technique en
soient sortis très marqués !
Farid Benstiti – l’entraîneur du PSG – dont il n’est pas besoin de rappeler à quel point il est un grand entraîneur et un grand
compétiteur – ne pouvait donc, lui aussi, qu’être marqué par la défaite de son équipe. Mais, parce que, justement, Farid est grand en
quantité de choses, il a tout de même bien voulu nous accorder une interview, que, par respect, il nous était évident de ne pas faire longue.
Nous remercions donc « grandement » Farid Benstiti pour l’interview qu’il a très aimablement bien voulu nous accorder et vous
offrons cette entrevue – remplie de longs silences de la part de l’entraîneur parisien.
Christian Estevez
Sarah M'Barek :" On est là parce qu'on le mérite!"
Ce dimanche 15 février 2015, à Saint Brieuc, un "orage tranquille" s’est abattu sur la Coupe de France, puisse que l’En Avant de Guingamp a éliminé le Paris Saint-Germain – « largissime » favori de cette rencontre – sur le score de 7 – 6 à l’issue des tirs aux buts (1 – 1 à la fin du temps réglementaire).
Aux commandes de ces « joueuses-éclairs –de-génie », il y a Sarah M’Barek ! « L’entraîneure » rouge et noire de cette équipe bretonne qui étonne et détonne cette année, pour le plus grand plaisir des amoureuses/amoureux du football féminin en général, et du Championnat de France, en particulier.
Une nouvelle fois, Sarah M’Barek a accepté, malgré l’heure tardive, de nous offrir l’honneur d’une interview et c’est fort heureux de ce privilège – qui est toujours un véritable plaisir – que nous vous offrons, à notre tour, le contenu de notre entrevue.
P.S. : Contrairement à d'habitude, pour la retranscription de cette interview – et de d’autres qui suivront, parmi celles que nous réalisons -, c’est une autre personne qui en a pris soin. Bien sûr, notre « billet d’introduction » reste toujours bien exclusivement notre plume.
Christian Estevez
Aminata Diallo : "Battre le PSG? Bien sûr c'est possible!"
Dimanche 25 janvier, à Saint-Malo, l’E.A. Guingamp a obtenu son billet pour les 1/8ème de finale de la Coupe de France en s’imposant 0 – 4.
Parmi les buteuses rouges et noires, il y eu Aminata Diallo - médaillée de bronze à la coupe du monde au Canada, l’an passé, avec l’équipe de France - qui, en plus d’avoir marqué le 3ème but, a largement contribué à faire plier la défense malouine de par son jeu particulièrement offensif.
Le très bon match d’Aminata fut d’autant plus l’occasion, pour nous, de l’interviewer assez longuement après le match, que nous l’avions prévu, dans cette même période de la saison, depuis plusieurs semaines déjà !
Ami Otaki : "J''apprécie vraiment de jouer en France!"
Ce dimanche 25 janvier, se disputait le match de 1/16ème de finale de Coupe de France qui opposait l’U.S. Saint Malo à l’En Avant de Guingamp.
Et, comme nous l’avait indiqué Sarah M’Barek – l’ « entraîneure » de l’E.A. Guingamp -, lors de l’interview d’après match du dimanche précédent, ce derby breton vit l’arrivée de la japonaise Ami Otaki sous ses nouvelles couleurs guingampaises !
Malgré le fait qu’elle fut remplacée durant la seconde mi-temps, quoi de plus évident, que d’interviewer l’excellente joueuse nippone qu’est Ami Otaki ?
Voici donc, en anglais pour l’interview en vidéo, mais bien en français pour la retranscription écrite, la première « interview rouge et noire », d’après-match, d’Ami Otaki !
Saki Kumagaï : "Je suis très chanceuse de jouer à Lyon!"
Il y a des joueuses que l'on aimerait pouvoir interviewer mais sans pouvoir le faire car la langue reste une barrière infranchissable. Cela est d'autant plus frustrant lorsque vous savez que la joueuse en face de vous aimerait pouvoir vous donner une interview mais se trouve elle-même empêcher par le language et se sent gènée de ne pas connaitre la votre d'autant qu'elle joue dans votre pays. Et, bien entendu, votre déception est d'autant plus grande lorsque vous appréciez beaucoup la joueuse.
Parmi les joueuses qui entre dans cette catégorie, il y a l'internationale japonaise Saki Kumagaï. Née à Sapporo (ville de l'ïle d'Hokkaïdô - Japon) il y a de cela 24 automnes. Avant de jouer à l'Olympique lyonnais depuis la saison 2013 - 2014, elle a évoluée au FF Francfort durant deux saisons. Elle est, avec son équipe nationale, championne du Monde 2011 et finaliste des J.O. de Londres 2012. Rien que le peu que nous indiquons de Saki Kumagaï permet de comprendre à quel point nous brûlions d'envie de pouvoir recueillir ses propos (d'autant que le Japon est l'une de nos 3 nations préférées du football féminin - hormis la France!).
Alors, losque l'une de nos consoeur japonaise se déplace exclusivement pour Saki san, nous ne pouvons rater l'occasion de solliciter l'aide de la consoeur en question pour nous aider à en savoir plus de la championne japonaise en comblant les lacunes qui sont devenues les notres par manque prolongé de la langue nippone et ce, d'autant plus que Kumagaï avait dû décliner notre demande d'interview pour le souci de langue auquel nous faisons référence, lors du match aller, à Gerland, le 1er novembre 2014.
Pour une fois, nous n'avons pas fait une retranscripton complète de la présente interview vidéo car, au-delà des fortes contraintes que cela présentait pour nous, il nous a paru plus judicieux de résumer - en paraphrasant -, en quelques phrases, les propos de Kumagaï, afin de rester fixer sur "l'essentiel". Seules, donc, les personnes parlant le japonais auront la possibilité de connaitre le conenu complet des propos de la lyonnaise. Une façon, aussi, de remercier notre public du soleil levant qui s'accroit de quelques centaines à chacune de nos publications, depuis quelques semaines et qui fait, à présent, du Japon, le troisième pays où nous sommes le plus suivi (passant ainsi devant l'Angleterre mais après les U.S.A., en 1ère place et la France en seconde).
Christian Estevez
pour www.total-futbol.com
Farid Benstiti (PSG ) : "On ne méritait pas la victoire!"
Dimanche 15 février, le choc des 8e de finale de la Coupe de France entre l’En Avant de Guingamp et le Paris Saint-Germain à tenu toutes ses promesses ! Un but dès la 1ère minute de match pour les guingampaises, une course à l’égalisation des parisiennes (qui aboutit à la 29ème minute), puis la course à la prise d’avantage du score qui se fait « course de fond » et un match qui finit par une une "épreuve
d’endurance" pour les nerfs avec une séance de tirs aux but qui ne trouve sa conclusion qu’à 7 – 6 en faveur des rouges et noires
bretonnes ! Un Vrai match de Coupe qui aurait très largement mérité une diffusion télévisée ! Et ce, d’autant plus quand certains matchs –
toujours entre les deux mêmes équipes – sont retransmis par deux chaines de télévision en même temps !
A l’issue de ce match, comme de bien entendu pour tous les matchs de coupes, il ne pouvait y avoir qu’un vainqueur – et donc,
qu’un perdant. Et, à la surprise quasi générale, c’est le Paris Saint-Germain qui a endossé le « costume de deuil » qu’est celui de l’élimination.
Bien que la Coupe de France n’ai jamais été l’objectif premier du PSG, il était fort logique que les joueuses et l’encadrement technique en
soient sortis très marqués !
Farid Benstiti – l’entraîneur du PSG – dont il n’est pas besoin de rappeler à quel point il est un grand entraîneur et un grand
compétiteur – ne pouvait donc, lui aussi, qu’être marqué par la défaite de son équipe. Mais, parce que, justement, Farid est grand en
quantité de choses, il a tout de même bien voulu nous accorder une interview, que, par respect, il nous était évident de ne pas faire longue.
Nous remercions donc « grandement » Farid Benstiti pour l’interview qu’il a très aimablement bien voulu nous accorder et vous
offrons cette entrevue – remplie de longs silences de la part de l’entraîneur parisien.
Christian Estevez
Sarah M'Barek :" On est là parce qu'on le mérite!"
Ce dimanche 15 février 2015, à Saint Brieuc, un "orage tranquille" s’est abattu sur la Coupe de France, puisse que l’En Avant de Guingamp a éliminé le Paris Saint-Germain – « largissime » favori de cette rencontre – sur le score de 7 – 6 à l’issue des tirs aux buts (1 – 1 à la fin du temps réglementaire).
Aux commandes de ces « joueuses-éclairs –de-génie », il y a Sarah M’Barek ! « L’entraîneure » rouge et noire de cette équipe bretonne qui étonne et détonne cette année, pour le plus grand plaisir des amoureuses/amoureux du football féminin en général, et du Championnat de France, en particulier.
Une nouvelle fois, Sarah M’Barek a accepté, malgré l’heure tardive, de nous offrir l’honneur d’une interview et c’est fort heureux de ce privilège – qui est toujours un véritable plaisir – que nous vous offrons, à notre tour, le contenu de notre entrevue.
P.S. : Contrairement à d'habitude, pour la retranscription de cette interview – et de d’autres qui suivront, parmi celles que nous réalisons -, c’est une autre personne qui en a pris soin. Bien sûr, notre « billet d’introduction » reste toujours bien exclusivement notre plume.
Christian Estevez
Aminata Diallo : "Battre le PSG? Bien sûr c'est possible!"
Dimanche 25 janvier, à Saint-Malo, l’E.A. Guingamp a obtenu son billet pour les 1/8ème de finale de la Coupe de France en s’imposant 0 – 4.
Parmi les buteuses rouges et noires, il y eu Aminata Diallo - médaillée de bronze à la coupe du monde au Canada, l’an passé, avec l’équipe de France - qui, en plus d’avoir marqué le 3ème but, a largement contribué à faire plier la défense malouine de par son jeu particulièrement offensif.
Le très bon match d’Aminata fut d’autant plus l’occasion, pour nous, de l’interviewer assez longuement après le match, que nous l’avions prévu, dans cette même période de la saison, depuis plusieurs semaines déjà !
Ami Otaki : "J''apprécie vraiment de jouer en France!"
Ce dimanche 25 janvier, se disputait le match de 1/16ème de finale de Coupe de France qui opposait l’U.S. Saint Malo à l’En Avant de Guingamp.
Et, comme nous l’avait indiqué Sarah M’Barek – l’ « entraîneure » de l’E.A. Guingamp -, lors de l’interview d’après match du dimanche précédent, ce derby breton vit l’arrivée de la japonaise Ami Otaki sous ses nouvelles couleurs guingampaises !
Malgré le fait qu’elle fut remplacée durant la seconde mi-temps, quoi de plus évident, que d’interviewer l’excellente joueuse nippone qu’est Ami Otaki ?
Voici donc, en anglais pour l’interview en vidéo, mais bien en français pour la retranscription écrite, la première « interview rouge et noire », d’après-match, d’Ami Otaki !
Saki Kumagaï : "Je suis très chanceuse de jouer à Lyon!"
Il y a des joueuses que l'on aimerait pouvoir interviewer mais sans pouvoir le faire car la langue reste une barrière infranchissable. Cela est d'autant plus frustrant lorsque vous savez que la joueuse en face de vous aimerait pouvoir vous donner une interview mais se trouve elle-même empêcher par le language et se sent gènée de ne pas connaitre la votre d'autant qu'elle joue dans votre pays. Et, bien entendu, votre déception est d'autant plus grande lorsque vous appréciez beaucoup la joueuse.
Parmi les joueuses qui entre dans cette catégorie, il y a l'internationale japonaise Saki Kumagaï. Née à Sapporo (ville de l'ïle d'Hokkaïdô - Japon) il y a de cela 24 automnes. Avant de jouer à l'Olympique lyonnais depuis la saison 2013 - 2014, elle a évoluée au FF Francfort durant deux saisons. Elle est, avec son équipe nationale, championne du Monde 2011 et finaliste des J.O. de Londres 2012. Rien que le peu que nous indiquons de Saki Kumagaï permet de comprendre à quel point nous brûlions d'envie de pouvoir recueillir ses propos (d'autant que le Japon est l'une de nos 3 nations préférées du football féminin - hormis la France!).
Alors, losque l'une de nos consoeur japonaise se déplace exclusivement pour Saki san, nous ne pouvons rater l'occasion de solliciter l'aide de la consoeur en question pour nous aider à en savoir plus de la championne japonaise en comblant les lacunes qui sont devenues les notres par manque prolongé de la langue nippone et ce, d'autant plus que Kumagaï avait dû décliner notre demande d'interview pour le souci de langue auquel nous faisons référence, lors du match aller, à Gerland, le 1er novembre 2014.
Pour une fois, nous n'avons pas fait une retranscripton complète de la présente interview vidéo car, au-delà des fortes contraintes que cela présentait pour nous, il nous a paru plus judicieux de résumer - en paraphrasant -, en quelques phrases, les propos de Kumagaï, afin de rester fixer sur "l'essentiel". Seules, donc, les personnes parlant le japonais auront la possibilité de connaitre le conenu complet des propos de la lyonnaise. Une façon, aussi, de remercier notre public du soleil levant qui s'accroit de quelques centaines à chacune de nos publications, depuis quelques semaines et qui fait, à présent, du Japon, le troisième pays où nous sommes le plus suivi (passant ainsi devant l'Angleterre mais après les U.S.A., en 1ère place et la France en seconde).
Christian Estevez
pour www.total-futbol.com
Farid Benstiti (PSG ) : "On ne méritait pas la victoire!"
Dimanche 15 février, le choc des 8e de finale de la Coupe de France entre l’En Avant de Guingamp et le Paris Saint-Germain à tenu toutes ses promesses ! Un but dès la 1ère minute de match pour les guingampaises, une course à l’égalisation des parisiennes (qui aboutit à la 29ème minute), puis la course à la prise d’avantage du score qui se fait « course de fond » et un match qui finit par une une "épreuve
d’endurance" pour les nerfs avec une séance de tirs aux but qui ne trouve sa conclusion qu’à 7 – 6 en faveur des rouges et noires
bretonnes ! Un Vrai match de Coupe qui aurait très largement mérité une diffusion télévisée ! Et ce, d’autant plus quand certains matchs –
toujours entre les deux mêmes équipes – sont retransmis par deux chaines de télévision en même temps !
A l’issue de ce match, comme de bien entendu pour tous les matchs de coupes, il ne pouvait y avoir qu’un vainqueur – et donc,
qu’un perdant. Et, à la surprise quasi générale, c’est le Paris Saint-Germain qui a endossé le « costume de deuil » qu’est celui de l’élimination.
Bien que la Coupe de France n’ai jamais été l’objectif premier du PSG, il était fort logique que les joueuses et l’encadrement technique en
soient sortis très marqués !
Farid Benstiti – l’entraîneur du PSG – dont il n’est pas besoin de rappeler à quel point il est un grand entraîneur et un grand
compétiteur – ne pouvait donc, lui aussi, qu’être marqué par la défaite de son équipe. Mais, parce que, justement, Farid est grand en
quantité de choses, il a tout de même bien voulu nous accorder une interview, que, par respect, il nous était évident de ne pas faire longue.
Nous remercions donc « grandement » Farid Benstiti pour l’interview qu’il a très aimablement bien voulu nous accorder et vous
offrons cette entrevue – remplie de longs silences de la part de l’entraîneur parisien.
Christian Estevez
Sarah M'Barek :" On est là parce qu'on le mérite!"
Ce dimanche 15 février 2015, à Saint Brieuc, un "orage tranquille" s’est abattu sur la Coupe de France, puisse que l’En Avant de Guingamp a éliminé le Paris Saint-Germain – « largissime » favori de cette rencontre – sur le score de 7 – 6 à l’issue des tirs aux buts (1 – 1 à la fin du temps réglementaire).
Aux commandes de ces « joueuses-éclairs –de-génie », il y a Sarah M’Barek ! « L’entraîneure » rouge et noire de cette équipe bretonne qui étonne et détonne cette année, pour le plus grand plaisir des amoureuses/amoureux du football féminin en général, et du Championnat de France, en particulier.
Une nouvelle fois, Sarah M’Barek a accepté, malgré l’heure tardive, de nous offrir l’honneur d’une interview et c’est fort heureux de ce privilège – qui est toujours un véritable plaisir – que nous vous offrons, à notre tour, le contenu de notre entrevue.
P.S. : Contrairement à d'habitude, pour la retranscription de cette interview – et de d’autres qui suivront, parmi celles que nous réalisons -, c’est une autre personne qui en a pris soin. Bien sûr, notre « billet d’introduction » reste toujours bien exclusivement notre plume.
Christian Estevez
Aminata Diallo : "Battre le PSG? Bien sûr c'est possible!"
Dimanche 25 janvier, à Saint-Malo, l’E.A. Guingamp a obtenu son billet pour les 1/8ème de finale de la Coupe de France en s’imposant 0 – 4.
Parmi les buteuses rouges et noires, il y eu Aminata Diallo - médaillée de bronze à la coupe du monde au Canada, l’an passé, avec l’équipe de France - qui, en plus d’avoir marqué le 3ème but, a largement contribué à faire plier la défense malouine de par son jeu particulièrement offensif.
Le très bon match d’Aminata fut d’autant plus l’occasion, pour nous, de l’interviewer assez longuement après le match, que nous l’avions prévu, dans cette même période de la saison, depuis plusieurs semaines déjà !
Ami Otaki : "J''apprécie vraiment de jouer en France!"
Ce dimanche 25 janvier, se disputait le match de 1/16ème de finale de Coupe de France qui opposait l’U.S. Saint Malo à l’En Avant de Guingamp.
Et, comme nous l’avait indiqué Sarah M’Barek – l’ « entraîneure » de l’E.A. Guingamp -, lors de l’interview d’après match du dimanche précédent, ce derby breton vit l’arrivée de la japonaise Ami Otaki sous ses nouvelles couleurs guingampaises !
Malgré le fait qu’elle fut remplacée durant la seconde mi-temps, quoi de plus évident, que d’interviewer l’excellente joueuse nippone qu’est Ami Otaki ?
Voici donc, en anglais pour l’interview en vidéo, mais bien en français pour la retranscription écrite, la première « interview rouge et noire », d’après-match, d’Ami Otaki !