Bordeaux
L'ancien girondin, Gabriel Abossolo est mort
Triste nouvelle pour les Girondins de Bordeaux... En effet, le club au scapulaire a annoncé dans la journée la mort de Gabriel Abossolo (75 ans) qui fut joueur des Girondins entre 1958 et 1969 jouant 302 matchs et marquant 18 buts. Milieu défensif aux quatres poumons, le camerounais fit parti aux côtés des Montes, De Bourgoing, Couécou et Chorda de la belle équipe des Girondins des années 60 menée par Salvador Artigas finissant trois fois seconds du championnat et perdant trois finales de la Coupe de France dont celle contre Lyon en 1964. Joueur généreux et technique, les supporters les plus agés des Girondins garderont une belle image de ce joueur qui fait incontestablement parti de l'histoire du club au scapulaire. Allez adieu Gaby...
Coupe de la Ligue : Bordeaux passe, Reims, Lens et Montpellier trépassent
(Photo Reuters)
Ce mardi soir, dans le cadre des 16e de finale de la Coupe de la Ligue, les Girondins de Bordeaux, Caen et Nantes se sont qualifiés pour le tour suivant. Fin de l’aventure, en revanche, pour Lens, Montpellier et le Stade de Reims, éliminés à ce stade de la compétition.
[Ligue 1] Le PSG surclasse les Girondins de Bordeaux (3-0)
Paris semble avoir trouvé son rythme. Après ses deux premières victoires consécutives de la saison, contre Lens (1-3) en championnat puis l'Apoel Nicosie (0-1) en Ligue des champions, le PSG a enregistré un troisième succès de rang, ce samedi, contre Bordeaux (3-0) sur sa pelouse du Parc des Princes.
Les Girondins de Bordeaux en 1983/1984 : champions grâce aux transferts, une forme nouvelle de domination
Avant l'Olympique de Marseille de Bernard Tapie, il y avait les Girondins de Bordeaux de Claude Bez. Acteur-mangeur sur le marché des transferts, il transforme un club tombé dans l'anonymat au cours des années 1970 en véritable conquérant dans les années 1980. Son premier titre de champion en 1984 marque non seulement le début de quelques années glorieuses, mais aussi l'entrée définitive du foot business dans le monde du football français.
(photo sudouest.com)
[Ligue 1] Francis Gillot sort de son silence
Dans une interview accordée au quotidien L'Equipe, l'ancien entraineur de Bordeaux, Francis Gillot, règle ses comptes. Entre 2011 et 2014, il a été une cible des médias, qui lui reprochaient notamment un jeu beaucoup trop défensif et des matchs ennuyeux au possible (Pierre Ménès s'en est notamment donné à coeur joie sur Canal +). Au sujet de la Coupe d'Europe, peu disputée la saison dernière par les Girondins (on se souvient de ce Bordeaux-Francfort où il y avait plus de supporters allemands que girondins à Chaban-Delmas), Francis Gillot affirme avoir du " laisser des joueurs au repos à cause du mauvais classement en Ligue 1 ". Une priorité certaine et logique, mais qui met désormais le championnat français dans l'embarras au niveau des coefficients UEFA et des places qualificatives pour les-dites coupes d'Europe. Sur sa réputation d'entraineur défensif, l'ancien entraineur explique avoir " disputé 350 matchs sur 400 avec 2 attaquants ", une statistique que l'on ne se donnera pas la peine de vérifier, car tous les suiveurs des matchs de Bordeaux lors des 3 dernières années peuvent témoigner de la pauvreté et du manque d'ambition dans le jeu bordelais. Une envie retrouvée par le nouvel entraineur, Willy Sagnol, même si la machine commence à grincer un peu (2 victoires lors des 6 derniers matchs), ce qui fait dire à Gillot : " Il nous est aussi arrivés de faire une bonne série ", remettant en cause les louanges adressées par les médias à ce nouveau Bordeaux.
Désormais installé à Lille, sans club mais avec un poste à l'UEFA selon certaines sources de ses proches, Francis Gillot continue d'afficher son optimisme légendaire ...
L'ancien girondin, Gabriel Abossolo est mort
Triste nouvelle pour les Girondins de Bordeaux... En effet, le club au scapulaire a annoncé dans la journée la mort de Gabriel Abossolo (75 ans) qui fut joueur des Girondins entre 1958 et 1969 jouant 302 matchs et marquant 18 buts. Milieu défensif aux quatres poumons, le camerounais fit parti aux côtés des Montes, De Bourgoing, Couécou et Chorda de la belle équipe des Girondins des années 60 menée par Salvador Artigas finissant trois fois seconds du championnat et perdant trois finales de la Coupe de France dont celle contre Lyon en 1964. Joueur généreux et technique, les supporters les plus agés des Girondins garderont une belle image de ce joueur qui fait incontestablement parti de l'histoire du club au scapulaire. Allez adieu Gaby...
Coupe de la Ligue : Bordeaux passe, Reims, Lens et Montpellier trépassent
(Photo Reuters)
Ce mardi soir, dans le cadre des 16e de finale de la Coupe de la Ligue, les Girondins de Bordeaux, Caen et Nantes se sont qualifiés pour le tour suivant. Fin de l’aventure, en revanche, pour Lens, Montpellier et le Stade de Reims, éliminés à ce stade de la compétition.
[Ligue 1] Le PSG surclasse les Girondins de Bordeaux (3-0)
Paris semble avoir trouvé son rythme. Après ses deux premières victoires consécutives de la saison, contre Lens (1-3) en championnat puis l'Apoel Nicosie (0-1) en Ligue des champions, le PSG a enregistré un troisième succès de rang, ce samedi, contre Bordeaux (3-0) sur sa pelouse du Parc des Princes.
Les Girondins de Bordeaux en 1983/1984 : champions grâce aux transferts, une forme nouvelle de domination
Avant l'Olympique de Marseille de Bernard Tapie, il y avait les Girondins de Bordeaux de Claude Bez. Acteur-mangeur sur le marché des transferts, il transforme un club tombé dans l'anonymat au cours des années 1970 en véritable conquérant dans les années 1980. Son premier titre de champion en 1984 marque non seulement le début de quelques années glorieuses, mais aussi l'entrée définitive du foot business dans le monde du football français.
(photo sudouest.com)
[Ligue 1] Francis Gillot sort de son silence
Dans une interview accordée au quotidien L'Equipe, l'ancien entraineur de Bordeaux, Francis Gillot, règle ses comptes. Entre 2011 et 2014, il a été une cible des médias, qui lui reprochaient notamment un jeu beaucoup trop défensif et des matchs ennuyeux au possible (Pierre Ménès s'en est notamment donné à coeur joie sur Canal +). Au sujet de la Coupe d'Europe, peu disputée la saison dernière par les Girondins (on se souvient de ce Bordeaux-Francfort où il y avait plus de supporters allemands que girondins à Chaban-Delmas), Francis Gillot affirme avoir du " laisser des joueurs au repos à cause du mauvais classement en Ligue 1 ". Une priorité certaine et logique, mais qui met désormais le championnat français dans l'embarras au niveau des coefficients UEFA et des places qualificatives pour les-dites coupes d'Europe. Sur sa réputation d'entraineur défensif, l'ancien entraineur explique avoir " disputé 350 matchs sur 400 avec 2 attaquants ", une statistique que l'on ne se donnera pas la peine de vérifier, car tous les suiveurs des matchs de Bordeaux lors des 3 dernières années peuvent témoigner de la pauvreté et du manque d'ambition dans le jeu bordelais. Une envie retrouvée par le nouvel entraineur, Willy Sagnol, même si la machine commence à grincer un peu (2 victoires lors des 6 derniers matchs), ce qui fait dire à Gillot : " Il nous est aussi arrivés de faire une bonne série ", remettant en cause les louanges adressées par les médias à ce nouveau Bordeaux.
Désormais installé à Lille, sans club mais avec un poste à l'UEFA selon certaines sources de ses proches, Francis Gillot continue d'afficher son optimisme légendaire ...
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Les Girondins de Bordeaux en 1983/1984 : champions grâce aux transferts, une forme nouvelle de domination
Avant l'Olympique de Marseille de Bernard Tapie, il y avait les Girondins de Bordeaux de Claude Bez. Acteur-mangeur sur le marché des transferts, il transforme un club tombé dans l'anonymat au cours des années 1970 en véritable conquérant dans les années 1980. Son premier titre de champion en 1984 marque non seulement le début de quelques années glorieuses, mais aussi l'entrée définitive du foot business dans le monde du football français.
(photo sudouest.com)
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Désormais installé à Lille, sans club mais avec un poste à l'UEFA selon certaines sources de ses proches, Francis Gillot continue d'afficher son optimisme légendaire ...
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Triste nouvelle pour les Girondins de Bordeaux... En effet, le club au scapulaire a annoncé dans la journée la mort de Gabriel Abossolo (75 ans) qui fut joueur des Girondins entre 1958 et 1969 jouant 302 matchs et marquant 18 buts. Milieu défensif aux quatres poumons, le camerounais fit parti aux côtés des Montes, De Bourgoing, Couécou et Chorda de la belle équipe des Girondins des années 60 menée par Salvador Artigas finissant trois fois seconds du championnat et perdant trois finales de la Coupe de France dont celle contre Lyon en 1964. Joueur généreux et technique, les supporters les plus agés des Girondins garderont une belle image de ce joueur qui fait incontestablement parti de l'histoire du club au scapulaire. Allez adieu Gaby...
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Ce mardi soir, dans le cadre des 16e de finale de la Coupe de la Ligue, les Girondins de Bordeaux, Caen et Nantes se sont qualifiés pour le tour suivant. Fin de l’aventure, en revanche, pour Lens, Montpellier et le Stade de Reims, éliminés à ce stade de la compétition.
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Les Girondins de Bordeaux en 1983/1984 : champions grâce aux transferts, une forme nouvelle de domination
Avant l'Olympique de Marseille de Bernard Tapie, il y avait les Girondins de Bordeaux de Claude Bez. Acteur-mangeur sur le marché des transferts, il transforme un club tombé dans l'anonymat au cours des années 1970 en véritable conquérant dans les années 1980. Son premier titre de champion en 1984 marque non seulement le début de quelques années glorieuses, mais aussi l'entrée définitive du foot business dans le monde du football français.
(photo sudouest.com)
[Ligue 1] Francis Gillot sort de son silence
Dans une interview accordée au quotidien L'Equipe, l'ancien entraineur de Bordeaux, Francis Gillot, règle ses comptes. Entre 2011 et 2014, il a été une cible des médias, qui lui reprochaient notamment un jeu beaucoup trop défensif et des matchs ennuyeux au possible (Pierre Ménès s'en est notamment donné à coeur joie sur Canal +). Au sujet de la Coupe d'Europe, peu disputée la saison dernière par les Girondins (on se souvient de ce Bordeaux-Francfort où il y avait plus de supporters allemands que girondins à Chaban-Delmas), Francis Gillot affirme avoir du " laisser des joueurs au repos à cause du mauvais classement en Ligue 1 ". Une priorité certaine et logique, mais qui met désormais le championnat français dans l'embarras au niveau des coefficients UEFA et des places qualificatives pour les-dites coupes d'Europe. Sur sa réputation d'entraineur défensif, l'ancien entraineur explique avoir " disputé 350 matchs sur 400 avec 2 attaquants ", une statistique que l'on ne se donnera pas la peine de vérifier, car tous les suiveurs des matchs de Bordeaux lors des 3 dernières années peuvent témoigner de la pauvreté et du manque d'ambition dans le jeu bordelais. Une envie retrouvée par le nouvel entraineur, Willy Sagnol, même si la machine commence à grincer un peu (2 victoires lors des 6 derniers matchs), ce qui fait dire à Gillot : " Il nous est aussi arrivés de faire une bonne série ", remettant en cause les louanges adressées par les médias à ce nouveau Bordeaux.
Désormais installé à Lille, sans club mais avec un poste à l'UEFA selon certaines sources de ses proches, Francis Gillot continue d'afficher son optimisme légendaire ...
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Triste nouvelle pour les Girondins de Bordeaux... En effet, le club au scapulaire a annoncé dans la journée la mort de Gabriel Abossolo (75 ans) qui fut joueur des Girondins entre 1958 et 1969 jouant 302 matchs et marquant 18 buts. Milieu défensif aux quatres poumons, le camerounais fit parti aux côtés des Montes, De Bourgoing, Couécou et Chorda de la belle équipe des Girondins des années 60 menée par Salvador Artigas finissant trois fois seconds du championnat et perdant trois finales de la Coupe de France dont celle contre Lyon en 1964. Joueur généreux et technique, les supporters les plus agés des Girondins garderont une belle image de ce joueur qui fait incontestablement parti de l'histoire du club au scapulaire. Allez adieu Gaby...
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(Photo Reuters)
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Les Girondins de Bordeaux en 1983/1984 : champions grâce aux transferts, une forme nouvelle de domination
Avant l'Olympique de Marseille de Bernard Tapie, il y avait les Girondins de Bordeaux de Claude Bez. Acteur-mangeur sur le marché des transferts, il transforme un club tombé dans l'anonymat au cours des années 1970 en véritable conquérant dans les années 1980. Son premier titre de champion en 1984 marque non seulement le début de quelques années glorieuses, mais aussi l'entrée définitive du foot business dans le monde du football français.
(photo sudouest.com)
[Ligue 1] Francis Gillot sort de son silence
Dans une interview accordée au quotidien L'Equipe, l'ancien entraineur de Bordeaux, Francis Gillot, règle ses comptes. Entre 2011 et 2014, il a été une cible des médias, qui lui reprochaient notamment un jeu beaucoup trop défensif et des matchs ennuyeux au possible (Pierre Ménès s'en est notamment donné à coeur joie sur Canal +). Au sujet de la Coupe d'Europe, peu disputée la saison dernière par les Girondins (on se souvient de ce Bordeaux-Francfort où il y avait plus de supporters allemands que girondins à Chaban-Delmas), Francis Gillot affirme avoir du " laisser des joueurs au repos à cause du mauvais classement en Ligue 1 ". Une priorité certaine et logique, mais qui met désormais le championnat français dans l'embarras au niveau des coefficients UEFA et des places qualificatives pour les-dites coupes d'Europe. Sur sa réputation d'entraineur défensif, l'ancien entraineur explique avoir " disputé 350 matchs sur 400 avec 2 attaquants ", une statistique que l'on ne se donnera pas la peine de vérifier, car tous les suiveurs des matchs de Bordeaux lors des 3 dernières années peuvent témoigner de la pauvreté et du manque d'ambition dans le jeu bordelais. Une envie retrouvée par le nouvel entraineur, Willy Sagnol, même si la machine commence à grincer un peu (2 victoires lors des 6 derniers matchs), ce qui fait dire à Gillot : " Il nous est aussi arrivés de faire une bonne série ", remettant en cause les louanges adressées par les médias à ce nouveau Bordeaux.
Désormais installé à Lille, sans club mais avec un poste à l'UEFA selon certaines sources de ses proches, Francis Gillot continue d'afficher son optimisme légendaire ...