Valence

Unaï Emery avait fini par quitter le CF Valencia l'an dernier, agacé, blasé des ventes successives des meilleurs joueurs du club ché qui empéchait le club d'évoluer. Après avoir perdu Villa, Mata, Silva l'entraineur basque avait annoncé son départ et celui de Jordi Alba pour le Barça.

Après une expérience peu fructueuse en Russie, il a alors prit les rênes du FC Séville, malheureusement le club andalou commence également a croulé sous les dettes et le FC Séville doit vendre.

Avec le probable départ de Montanier au stade rennais, l'enfant de la maison, le gipuscoan Unaï Emery est un nom qui circule de plus en plus dans la station balnéaire qui risque d'être agitée en cette pèriode estivale .

Le futur de Bielsa en terre basque semble prendre fin. Après une saison 2011/2012 où son équipe avait éblouit l'Europe entière en Europa League, cette saison est bien plus délicate et les zurigorri se situent seulement à la 14éme en championnat.

Si la piste Valverde sur le banc de l'Athletic se précise de plus en plus, le club de la capitale qui risque de perdre Ancelotti en partance pour le Real aurait sondé le technicien argentin pourtant toujours autant professionnel et dévoué au club biscayen.

En effet, ayant demandé plus de temps pour consolider ce qu'il a réussit à bâtir cette année, a ensuite déclaré son amour et son admiration à San Mames et son public qui lui rend si bien en entonnant encore et toujours des " a lo loco se vive mejor ".

Dans les tribunes de San Mames pour regarder l'équipe féminine, dans la tribune Gainza du stade de Lezama pour regarder l'équipe réserve, Marcelo Bielsa reste toujours autant impliqué. Ne montrant aucun signe de pensée autre.

De plus ayant à plusieurs reprises déjà déclaré ne pas vouloir entrainer des équipes où les joueurs ne parlaient pas espagnol, un transfert au PSG, un club à l'opposé de "son idéal" de l'Athletic Bilbao semble peu probable.

La Real Sociedad a dominé le FC Valence sur sa pelouse d'Anoeta pour le compte de la 33ème journée de Liga.

Tout avait pourtant bien commencé pour les Valencians puisque Soldado concrétisait un beau centre du français Cissokho. Quelques minutes plus tard, Soldado essayait de lober Claudio Bravo, le gardien des bleus et blancs touchait la balle de la main en dehors de sa surface, l'arbitre ne voyait pas cette faute et les Valencians étaient furieux.

Une dizaine de minutes plus tard, sur un corner joué à deux, Castro délivrait une balle parfaite sur le défenseur Iñigo Martinez qui marquait d'une belle reprise de volée.

La suite du match était équilibré, avec un niveau technique très élevé et une dispute sur chaque ballon, les deux équipes n'arrivaient pas à concrétiser de magnifiques actions. C'est à une vingtaine de minute de la fin que, suite à un coup-franc mal négocié par Valence, les Basques réussisent difficilement à se dégager. Grâce à une action de grande classe entre Agirretxe et Castro, un une-deux-trois-quatre qui comportait une talonnade et une sublime passe en profondeur, Castro concrétisait l'action, les Basques reprenaient l'avantage.

A partir de ce moment là, les Valencians poussent, Valverde effectue des changements très offensifs pour tenter le tout pour le tout, Cissokho est coupable d'une main qui aurait mérité un penalty, l'arbitre ne la voit pas non plus. Mais les attaques de Valence sont repoussés par des Basques très solidaires. Sur une contre-attaque, Xabi Prieto reçoit une balle sur le coté droit, il centre parfaitement au second poteau pour Agirretxe qui propulse la balle au fond des filets, Anoeta éxulte, les joueurs de Philippe Montanier sont presque en Ligue des Champions.
Les joueurs de Valverde reviennent à 3-2 suite à une superbe frappe de Piatti repoussée par le gardien Basque mais finalement concrétisée par Jonas, opportuniste.

Le match ne tient à plus grand chose, les supporters Basques n'osent plus regarder, certains sont au bord des larmes et un silence de cathédrale s'abat dans le stade à chaque centre des chés.

A la dernière minute, Agirretxe profite d'une erreur de la défense pour partir seul vers le gardien, tout le monde pense à une frappe forte, mais l'attaquant Basque envoie un lob tout en finesse au dessus de Diego Alves, explosion de joie, la Ligue des Champions est proche, 10 ans après un autre entraîneur français, le regretté Reynald Denoueix.

Un match pleins d'intensité, de hargne, de technique, de tactique. Un match espagnol qui prouve une fois de plus que ce championnat ne se réduit pas uniquement aux deux têtes d'affiches. Derrière, la lutte pour l'Europe est très serrée également, entre de très bonnes équipes qui produisent un jeu très attrayant et pouvant plaire à n'importe qui.

En début de saison, nous vous parlions déjà de La Real ambitieuse. De ce groupe qui ressemblait sous plusieurs aspects, à celui dirigé par Denoueix au début des années 2000, un coach français plein d'idées et une génération montante de qualité.

Unaï Emery avait fini par quitter le CF Valencia l'an dernier, agacé, blasé des ventes successives des meilleurs joueurs du club ché qui empéchait le club d'évoluer. Après avoir perdu Villa, Mata, Silva l'entraineur basque avait annoncé son départ et celui de Jordi Alba pour le Barça.

Après une expérience peu fructueuse en Russie, il a alors prit les rênes du FC Séville, malheureusement le club andalou commence également a croulé sous les dettes et le FC Séville doit vendre.

Avec le probable départ de Montanier au stade rennais, l'enfant de la maison, le gipuscoan Unaï Emery est un nom qui circule de plus en plus dans la station balnéaire qui risque d'être agitée en cette pèriode estivale .

Le futur de Bielsa en terre basque semble prendre fin. Après une saison 2011/2012 où son équipe avait éblouit l'Europe entière en Europa League, cette saison est bien plus délicate et les zurigorri se situent seulement à la 14éme en championnat.

Si la piste Valverde sur le banc de l'Athletic se précise de plus en plus, le club de la capitale qui risque de perdre Ancelotti en partance pour le Real aurait sondé le technicien argentin pourtant toujours autant professionnel et dévoué au club biscayen.

En effet, ayant demandé plus de temps pour consolider ce qu'il a réussit à bâtir cette année, a ensuite déclaré son amour et son admiration à San Mames et son public qui lui rend si bien en entonnant encore et toujours des " a lo loco se vive mejor ".

Dans les tribunes de San Mames pour regarder l'équipe féminine, dans la tribune Gainza du stade de Lezama pour regarder l'équipe réserve, Marcelo Bielsa reste toujours autant impliqué. Ne montrant aucun signe de pensée autre.

De plus ayant à plusieurs reprises déjà déclaré ne pas vouloir entrainer des équipes où les joueurs ne parlaient pas espagnol, un transfert au PSG, un club à l'opposé de "son idéal" de l'Athletic Bilbao semble peu probable.

La Real Sociedad a dominé le FC Valence sur sa pelouse d'Anoeta pour le compte de la 33ème journée de Liga.

Tout avait pourtant bien commencé pour les Valencians puisque Soldado concrétisait un beau centre du français Cissokho. Quelques minutes plus tard, Soldado essayait de lober Claudio Bravo, le gardien des bleus et blancs touchait la balle de la main en dehors de sa surface, l'arbitre ne voyait pas cette faute et les Valencians étaient furieux.

Une dizaine de minutes plus tard, sur un corner joué à deux, Castro délivrait une balle parfaite sur le défenseur Iñigo Martinez qui marquait d'une belle reprise de volée.

La suite du match était équilibré, avec un niveau technique très élevé et une dispute sur chaque ballon, les deux équipes n'arrivaient pas à concrétiser de magnifiques actions. C'est à une vingtaine de minute de la fin que, suite à un coup-franc mal négocié par Valence, les Basques réussisent difficilement à se dégager. Grâce à une action de grande classe entre Agirretxe et Castro, un une-deux-trois-quatre qui comportait une talonnade et une sublime passe en profondeur, Castro concrétisait l'action, les Basques reprenaient l'avantage.

A partir de ce moment là, les Valencians poussent, Valverde effectue des changements très offensifs pour tenter le tout pour le tout, Cissokho est coupable d'une main qui aurait mérité un penalty, l'arbitre ne la voit pas non plus. Mais les attaques de Valence sont repoussés par des Basques très solidaires. Sur une contre-attaque, Xabi Prieto reçoit une balle sur le coté droit, il centre parfaitement au second poteau pour Agirretxe qui propulse la balle au fond des filets, Anoeta éxulte, les joueurs de Philippe Montanier sont presque en Ligue des Champions.
Les joueurs de Valverde reviennent à 3-2 suite à une superbe frappe de Piatti repoussée par le gardien Basque mais finalement concrétisée par Jonas, opportuniste.

Le match ne tient à plus grand chose, les supporters Basques n'osent plus regarder, certains sont au bord des larmes et un silence de cathédrale s'abat dans le stade à chaque centre des chés.

A la dernière minute, Agirretxe profite d'une erreur de la défense pour partir seul vers le gardien, tout le monde pense à une frappe forte, mais l'attaquant Basque envoie un lob tout en finesse au dessus de Diego Alves, explosion de joie, la Ligue des Champions est proche, 10 ans après un autre entraîneur français, le regretté Reynald Denoueix.

Un match pleins d'intensité, de hargne, de technique, de tactique. Un match espagnol qui prouve une fois de plus que ce championnat ne se réduit pas uniquement aux deux têtes d'affiches. Derrière, la lutte pour l'Europe est très serrée également, entre de très bonnes équipes qui produisent un jeu très attrayant et pouvant plaire à n'importe qui.

En début de saison, nous vous parlions déjà de La Real ambitieuse. De ce groupe qui ressemblait sous plusieurs aspects, à celui dirigé par Denoueix au début des années 2000, un coach français plein d'idées et une génération montante de qualité.

Unaï Emery avait fini par quitter le CF Valencia l'an dernier, agacé, blasé des ventes successives des meilleurs joueurs du club ché qui empéchait le club d'évoluer. Après avoir perdu Villa, Mata, Silva l'entraineur basque avait annoncé son départ et celui de Jordi Alba pour le Barça.

Après une expérience peu fructueuse en Russie, il a alors prit les rênes du FC Séville, malheureusement le club andalou commence également a croulé sous les dettes et le FC Séville doit vendre.

Avec le probable départ de Montanier au stade rennais, l'enfant de la maison, le gipuscoan Unaï Emery est un nom qui circule de plus en plus dans la station balnéaire qui risque d'être agitée en cette pèriode estivale .

Le futur de Bielsa en terre basque semble prendre fin. Après une saison 2011/2012 où son équipe avait éblouit l'Europe entière en Europa League, cette saison est bien plus délicate et les zurigorri se situent seulement à la 14éme en championnat.

Si la piste Valverde sur le banc de l'Athletic se précise de plus en plus, le club de la capitale qui risque de perdre Ancelotti en partance pour le Real aurait sondé le technicien argentin pourtant toujours autant professionnel et dévoué au club biscayen.

En effet, ayant demandé plus de temps pour consolider ce qu'il a réussit à bâtir cette année, a ensuite déclaré son amour et son admiration à San Mames et son public qui lui rend si bien en entonnant encore et toujours des " a lo loco se vive mejor ".

Dans les tribunes de San Mames pour regarder l'équipe féminine, dans la tribune Gainza du stade de Lezama pour regarder l'équipe réserve, Marcelo Bielsa reste toujours autant impliqué. Ne montrant aucun signe de pensée autre.

De plus ayant à plusieurs reprises déjà déclaré ne pas vouloir entrainer des équipes où les joueurs ne parlaient pas espagnol, un transfert au PSG, un club à l'opposé de "son idéal" de l'Athletic Bilbao semble peu probable.

La Real Sociedad a dominé le FC Valence sur sa pelouse d'Anoeta pour le compte de la 33ème journée de Liga.

Tout avait pourtant bien commencé pour les Valencians puisque Soldado concrétisait un beau centre du français Cissokho. Quelques minutes plus tard, Soldado essayait de lober Claudio Bravo, le gardien des bleus et blancs touchait la balle de la main en dehors de sa surface, l'arbitre ne voyait pas cette faute et les Valencians étaient furieux.

Une dizaine de minutes plus tard, sur un corner joué à deux, Castro délivrait une balle parfaite sur le défenseur Iñigo Martinez qui marquait d'une belle reprise de volée.

La suite du match était équilibré, avec un niveau technique très élevé et une dispute sur chaque ballon, les deux équipes n'arrivaient pas à concrétiser de magnifiques actions. C'est à une vingtaine de minute de la fin que, suite à un coup-franc mal négocié par Valence, les Basques réussisent difficilement à se dégager. Grâce à une action de grande classe entre Agirretxe et Castro, un une-deux-trois-quatre qui comportait une talonnade et une sublime passe en profondeur, Castro concrétisait l'action, les Basques reprenaient l'avantage.

A partir de ce moment là, les Valencians poussent, Valverde effectue des changements très offensifs pour tenter le tout pour le tout, Cissokho est coupable d'une main qui aurait mérité un penalty, l'arbitre ne la voit pas non plus. Mais les attaques de Valence sont repoussés par des Basques très solidaires. Sur une contre-attaque, Xabi Prieto reçoit une balle sur le coté droit, il centre parfaitement au second poteau pour Agirretxe qui propulse la balle au fond des filets, Anoeta éxulte, les joueurs de Philippe Montanier sont presque en Ligue des Champions.
Les joueurs de Valverde reviennent à 3-2 suite à une superbe frappe de Piatti repoussée par le gardien Basque mais finalement concrétisée par Jonas, opportuniste.

Le match ne tient à plus grand chose, les supporters Basques n'osent plus regarder, certains sont au bord des larmes et un silence de cathédrale s'abat dans le stade à chaque centre des chés.

A la dernière minute, Agirretxe profite d'une erreur de la défense pour partir seul vers le gardien, tout le monde pense à une frappe forte, mais l'attaquant Basque envoie un lob tout en finesse au dessus de Diego Alves, explosion de joie, la Ligue des Champions est proche, 10 ans après un autre entraîneur français, le regretté Reynald Denoueix.

Un match pleins d'intensité, de hargne, de technique, de tactique. Un match espagnol qui prouve une fois de plus que ce championnat ne se réduit pas uniquement aux deux têtes d'affiches. Derrière, la lutte pour l'Europe est très serrée également, entre de très bonnes équipes qui produisent un jeu très attrayant et pouvant plaire à n'importe qui.

En début de saison, nous vous parlions déjà de La Real ambitieuse. De ce groupe qui ressemblait sous plusieurs aspects, à celui dirigé par Denoueix au début des années 2000, un coach français plein d'idées et une génération montante de qualité.

Unaï Emery avait fini par quitter le CF Valencia l'an dernier, agacé, blasé des ventes successives des meilleurs joueurs du club ché qui empéchait le club d'évoluer. Après avoir perdu Villa, Mata, Silva l'entraineur basque avait annoncé son départ et celui de Jordi Alba pour le Barça.

Après une expérience peu fructueuse en Russie, il a alors prit les rênes du FC Séville, malheureusement le club andalou commence également a croulé sous les dettes et le FC Séville doit vendre.

Avec le probable départ de Montanier au stade rennais, l'enfant de la maison, le gipuscoan Unaï Emery est un nom qui circule de plus en plus dans la station balnéaire qui risque d'être agitée en cette pèriode estivale .

Le futur de Bielsa en terre basque semble prendre fin. Après une saison 2011/2012 où son équipe avait éblouit l'Europe entière en Europa League, cette saison est bien plus délicate et les zurigorri se situent seulement à la 14éme en championnat.

Si la piste Valverde sur le banc de l'Athletic se précise de plus en plus, le club de la capitale qui risque de perdre Ancelotti en partance pour le Real aurait sondé le technicien argentin pourtant toujours autant professionnel et dévoué au club biscayen.

En effet, ayant demandé plus de temps pour consolider ce qu'il a réussit à bâtir cette année, a ensuite déclaré son amour et son admiration à San Mames et son public qui lui rend si bien en entonnant encore et toujours des " a lo loco se vive mejor ".

Dans les tribunes de San Mames pour regarder l'équipe féminine, dans la tribune Gainza du stade de Lezama pour regarder l'équipe réserve, Marcelo Bielsa reste toujours autant impliqué. Ne montrant aucun signe de pensée autre.

De plus ayant à plusieurs reprises déjà déclaré ne pas vouloir entrainer des équipes où les joueurs ne parlaient pas espagnol, un transfert au PSG, un club à l'opposé de "son idéal" de l'Athletic Bilbao semble peu probable.

La Real Sociedad a dominé le FC Valence sur sa pelouse d'Anoeta pour le compte de la 33ème journée de Liga.

Tout avait pourtant bien commencé pour les Valencians puisque Soldado concrétisait un beau centre du français Cissokho. Quelques minutes plus tard, Soldado essayait de lober Claudio Bravo, le gardien des bleus et blancs touchait la balle de la main en dehors de sa surface, l'arbitre ne voyait pas cette faute et les Valencians étaient furieux.

Une dizaine de minutes plus tard, sur un corner joué à deux, Castro délivrait une balle parfaite sur le défenseur Iñigo Martinez qui marquait d'une belle reprise de volée.

La suite du match était équilibré, avec un niveau technique très élevé et une dispute sur chaque ballon, les deux équipes n'arrivaient pas à concrétiser de magnifiques actions. C'est à une vingtaine de minute de la fin que, suite à un coup-franc mal négocié par Valence, les Basques réussisent difficilement à se dégager. Grâce à une action de grande classe entre Agirretxe et Castro, un une-deux-trois-quatre qui comportait une talonnade et une sublime passe en profondeur, Castro concrétisait l'action, les Basques reprenaient l'avantage.

A partir de ce moment là, les Valencians poussent, Valverde effectue des changements très offensifs pour tenter le tout pour le tout, Cissokho est coupable d'une main qui aurait mérité un penalty, l'arbitre ne la voit pas non plus. Mais les attaques de Valence sont repoussés par des Basques très solidaires. Sur une contre-attaque, Xabi Prieto reçoit une balle sur le coté droit, il centre parfaitement au second poteau pour Agirretxe qui propulse la balle au fond des filets, Anoeta éxulte, les joueurs de Philippe Montanier sont presque en Ligue des Champions.
Les joueurs de Valverde reviennent à 3-2 suite à une superbe frappe de Piatti repoussée par le gardien Basque mais finalement concrétisée par Jonas, opportuniste.

Le match ne tient à plus grand chose, les supporters Basques n'osent plus regarder, certains sont au bord des larmes et un silence de cathédrale s'abat dans le stade à chaque centre des chés.

A la dernière minute, Agirretxe profite d'une erreur de la défense pour partir seul vers le gardien, tout le monde pense à une frappe forte, mais l'attaquant Basque envoie un lob tout en finesse au dessus de Diego Alves, explosion de joie, la Ligue des Champions est proche, 10 ans après un autre entraîneur français, le regretté Reynald Denoueix.

Un match pleins d'intensité, de hargne, de technique, de tactique. Un match espagnol qui prouve une fois de plus que ce championnat ne se réduit pas uniquement aux deux têtes d'affiches. Derrière, la lutte pour l'Europe est très serrée également, entre de très bonnes équipes qui produisent un jeu très attrayant et pouvant plaire à n'importe qui.

En début de saison, nous vous parlions déjà de La Real ambitieuse. De ce groupe qui ressemblait sous plusieurs aspects, à celui dirigé par Denoueix au début des années 2000, un coach français plein d'idées et une génération montante de qualité.

Unaï Emery avait fini par quitter le CF Valencia l'an dernier, agacé, blasé des ventes successives des meilleurs joueurs du club ché qui empéchait le club d'évoluer. Après avoir perdu Villa, Mata, Silva l'entraineur basque avait annoncé son départ et celui de Jordi Alba pour le Barça.

Après une expérience peu fructueuse en Russie, il a alors prit les rênes du FC Séville, malheureusement le club andalou commence également a croulé sous les dettes et le FC Séville doit vendre.

Avec le probable départ de Montanier au stade rennais, l'enfant de la maison, le gipuscoan Unaï Emery est un nom qui circule de plus en plus dans la station balnéaire qui risque d'être agitée en cette pèriode estivale .

Le futur de Bielsa en terre basque semble prendre fin. Après une saison 2011/2012 où son équipe avait éblouit l'Europe entière en Europa League, cette saison est bien plus délicate et les zurigorri se situent seulement à la 14éme en championnat.

Si la piste Valverde sur le banc de l'Athletic se précise de plus en plus, le club de la capitale qui risque de perdre Ancelotti en partance pour le Real aurait sondé le technicien argentin pourtant toujours autant professionnel et dévoué au club biscayen.

En effet, ayant demandé plus de temps pour consolider ce qu'il a réussit à bâtir cette année, a ensuite déclaré son amour et son admiration à San Mames et son public qui lui rend si bien en entonnant encore et toujours des " a lo loco se vive mejor ".

Dans les tribunes de San Mames pour regarder l'équipe féminine, dans la tribune Gainza du stade de Lezama pour regarder l'équipe réserve, Marcelo Bielsa reste toujours autant impliqué. Ne montrant aucun signe de pensée autre.

De plus ayant à plusieurs reprises déjà déclaré ne pas vouloir entrainer des équipes où les joueurs ne parlaient pas espagnol, un transfert au PSG, un club à l'opposé de "son idéal" de l'Athletic Bilbao semble peu probable.

La Real Sociedad a dominé le FC Valence sur sa pelouse d'Anoeta pour le compte de la 33ème journée de Liga.

Tout avait pourtant bien commencé pour les Valencians puisque Soldado concrétisait un beau centre du français Cissokho. Quelques minutes plus tard, Soldado essayait de lober Claudio Bravo, le gardien des bleus et blancs touchait la balle de la main en dehors de sa surface, l'arbitre ne voyait pas cette faute et les Valencians étaient furieux.

Une dizaine de minutes plus tard, sur un corner joué à deux, Castro délivrait une balle parfaite sur le défenseur Iñigo Martinez qui marquait d'une belle reprise de volée.

La suite du match était équilibré, avec un niveau technique très élevé et une dispute sur chaque ballon, les deux équipes n'arrivaient pas à concrétiser de magnifiques actions. C'est à une vingtaine de minute de la fin que, suite à un coup-franc mal négocié par Valence, les Basques réussisent difficilement à se dégager. Grâce à une action de grande classe entre Agirretxe et Castro, un une-deux-trois-quatre qui comportait une talonnade et une sublime passe en profondeur, Castro concrétisait l'action, les Basques reprenaient l'avantage.

A partir de ce moment là, les Valencians poussent, Valverde effectue des changements très offensifs pour tenter le tout pour le tout, Cissokho est coupable d'une main qui aurait mérité un penalty, l'arbitre ne la voit pas non plus. Mais les attaques de Valence sont repoussés par des Basques très solidaires. Sur une contre-attaque, Xabi Prieto reçoit une balle sur le coté droit, il centre parfaitement au second poteau pour Agirretxe qui propulse la balle au fond des filets, Anoeta éxulte, les joueurs de Philippe Montanier sont presque en Ligue des Champions.
Les joueurs de Valverde reviennent à 3-2 suite à une superbe frappe de Piatti repoussée par le gardien Basque mais finalement concrétisée par Jonas, opportuniste.

Le match ne tient à plus grand chose, les supporters Basques n'osent plus regarder, certains sont au bord des larmes et un silence de cathédrale s'abat dans le stade à chaque centre des chés.

A la dernière minute, Agirretxe profite d'une erreur de la défense pour partir seul vers le gardien, tout le monde pense à une frappe forte, mais l'attaquant Basque envoie un lob tout en finesse au dessus de Diego Alves, explosion de joie, la Ligue des Champions est proche, 10 ans après un autre entraîneur français, le regretté Reynald Denoueix.

Un match pleins d'intensité, de hargne, de technique, de tactique. Un match espagnol qui prouve une fois de plus que ce championnat ne se réduit pas uniquement aux deux têtes d'affiches. Derrière, la lutte pour l'Europe est très serrée également, entre de très bonnes équipes qui produisent un jeu très attrayant et pouvant plaire à n'importe qui.

En début de saison, nous vous parlions déjà de La Real ambitieuse. De ce groupe qui ressemblait sous plusieurs aspects, à celui dirigé par Denoueix au début des années 2000, un coach français plein d'idées et une génération montante de qualité.